Ce mardi 26 mars 2024, cela fait 40 ans, depuis le décès brutal de Sékou Touré à Cleveland aux Etats-Unis.
Son règne de 26 ans de dictature sanglante ayant causé la disparition de la plusieurs guinéens (estimés à 50.000 morts au bas mots), continue de faire l’objet de polémique entre les Guinéens dont les dirigeants successifs, après sa mort, ont manqué le courage politique d’organiser un débat national sur son pouvoir pour faire la part de vérité dans un esprit de justice et de pardon.
Conséquence, l’homme qui a mené le pays à l’indépendance en 1958, un farouche combattant de la décolonisation du continent noir, fervent panafricaniste, continue à diviser quatre décennies après sa disparition.
Focus Lejour.info