Le ministre porte-parole du gouvernement bien qu’il soit éjecté de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) ne démord pas. Se considérant toujours membre à part entière du parti que dirige Cellou Dalein Diallo, Oumane Gaoual Diallo ne rate aucune occasion pour dénoncer les pratiques non démocratiques au sein de cette formation politique et réclamer l’organisation d’un congrès électif inclusif.
Ainsi, cette semaine, il multiplie les sorties à travers les réseaux sociaux. Sur twetter, il a écrit: «La démocratie n’émerge pas soudainement, mais se construit progressivement. Elle repose sur l’alternance, le débat et une compétition équitable, conduisant ainsi vers une authentique démocratie guidée par des valeurs telles que le partage, la solidarité, son aboutissement ultime se manifeste à travers les élections du parti. Cependant, il est primordial de garantir l’ancrage solide de cette union, de cette force et de cette démocratie. Les soutiens recherchés par le président du parti ne doivent en aucun cas faire négliger le respect des règles. Une décision non validée ne peut légitimer les statuts internes, ni notre politique. La démocratie exige le strict respect de ces règles. Il convient de souligner qu’aucun dispositif au sein du parti n’autorise la sanction d’un militant sur la base d’une décision unique du président. Les exclusions et radiations ne reposent sur aucun fondement légal. Le pouvoir de renouveler les mandats réside dans le congrès, et toute tentative de détourner cette pratique comporte des risques considérables. Les nominations abusives et les décisions prises de manière unilatérale comportent des risques en sapant la confiance et la légitimité acquises. Le congrès, en tant qu’instance où chaque voix compte, demeure le fondement des décisions cruciales. Il est impératif de revoir les récentes nominations qui ont contourné cette approche, tout en garantissant la transparence et l’accessibilité de la liste des congressistes. Rappelons les valeurs qui nous unissent et soutiennent notre démocratie. Maintenons notre engagement envers l’unité et la transparence, car ce sont ces valeurs qui façonneront un avenir solide et démocratique pour l’UFDG ».
L’ancien député, devenu ministre influent dans le gouvernement du régime militaire qui dirige le pays depuis deux ans, semble bien résolu d’aller au charbon pour faire valoir sa place au sein du parti que conduit Le ministre porte-parole du gouvernement bien qu’il soit éjecté de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) ne démord pas. Se considérant toujours membre à part entière du parti que dirige Cellou Dalein Diallo, Oumane Gaoual Diallo ne rate aucune occasion pour dénoncer les pratiques non démocratiques au sein de cette formation politique et réclamer l’organisation d’un congrès électif inclusif.
Ainsi, cette semaine, il multiplie les sorties à travers les réseaux sociaux. Sur twetter, il a écrit: «La démocratie n’émerge pas soudainement, mais se construit progressivement. Elle repose sur l’alternance, le débat et une compétition équitable, conduisant ainsi vers une authentique démocratie guidée par des valeurs telles que le partage, la solidarité, son aboutissement ultime se manifeste à travers les élections du parti. Cependant, il est primordial de garantir l’ancrage solide de cette union, de cette force et de cette démocratie. Les soutiens recherchés par le président du parti ne doivent en aucun cas faire négliger le respect des règles. Une décision non validée ne peut légitimer les statuts internes, ni notre politique. La démocratie exige le strict respect de ces règles. Il convient de souligner qu’aucun dispositif au sein du parti n’autorise la sanction d’un militant sur la base d’une décision unique du président. Les exclusions et radiations ne reposent sur aucun fondement légal. Le pouvoir de renouveler les mandats réside dans le congrès, et toute tentative de détourner cette pratique comporte des risques considérables. Les nominations abusives et les décisions prises de manière unilatérale comportent des risques en sapant la confiance et la légitimité acquises. Le congrès, en tant qu’instance où chaque voix compte, demeure le fondement des décisions cruciales. Il est impératif de revoir les récentes nominations qui ont contourné cette approche, tout en garantissant la transparence et l’accessibilité de la liste des congressistes. Rappelons les valeurs qui nous unissent et soutiennent notre démocratie. Maintenons notre engagement envers l’unité et la transparence, car ce sont ces valeurs qui façonneront un avenir solide et démocratique pour l’UFDG ».
L’ancien député, devenu ministre influent dans le gouvernement du régime militaire qui dirige le pays depuis deux ans, semble bien résolu d’aller au charbon pour faire valoir sa place au sein du parti que conduit Cellou Dalein Diallo trois fois candidat malheureux à la présidentielle. Quitte à croiser le fer avec ses anciens camarades. Ainsi va la politique.
Fatim Foulah Camara/Le Jour
trois fois candidat malheureux à la présidentielle. Quitte à croiser le fer avec ses anciens camarades. Ainsi va la politique.
Fatim Foulah Camara/Le Jour